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vieraskieliset / en-francais

Dans la réunion en France on entendait des salutations de paix

Siionin Lähetyslehti
vieraskieliset / en-francais
15.11.2017 6.06

Juttua muokattu:

1.1. 11:20
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J’ai fait un vo­ya­ge de mis­si­on avec Ee­ro Nuo­li­o­ja à Saint Lou­is en Fran­ce. Nous avons pris l’avi­on pour l’aé­ro­port de Bâle, qui est un aé­ro­port com­mun pour la Suis­se, la Fran­ce et l’Al­le­mag­ne, mais si­tué du côté fran­çais. L’aé­ro­port n’est qu’à qu­el­qu­es ki­lomèt­res de la mai­son d’An­ne et Pat­rik Mic­hel, où se te­nait la réu­ni­on.

Nous som­mes al­lés voir leur mai­son vend­re­di soir et nous avons été ser­vis d’un bon re­pas du soir. Il y avait déjà des nap­pes blanc­hes sur les tab­les et des tu­li­pes dans des va­ses. Le plus jeu­ne de la fa­mil­le, Fe­lix nous a de­mandé : « Al­lez-vous por­ter les cra­va­tes de­main ? » Ain­si Ee­ro et moi, nous avons pu cons­ta­ter que la fa­mil­le avait at­ten­du la réu­ni­on pas­si­on­né­ment.

Après avoir dor­mi la nuit dans un hôtel, le len­de­main nous som­mes re­tournés à la mai­son de la fa­mil­le Mic­hel, où se trou­vai­ent déjà une ving­tai­ne de per­son­nes. Fe­lix nous at­ten­dait avec ent­hou­si­as­me, ha­bil­lé d’un cos­tu­me et d’une cra­va­te. Par­mi les vi­si­teurs il y avait des jeu­nes qui tra­vail­lent ou étu­dient en Eu­ro­pe Cent­ra­le et des fa­mil­les ve­nu­es de la Suis­se et de la Fran­ce, qu­el­qu’un même de la Répub­li­que tchèque. Il était im­por­tant pour tous de se réu­nir pour en­tend­re la pa­ro­le de Dieu, pour dis­cu­ter du com­bat de la foi et pour échan­ger des nou­vel­les.

Au début de la journ­ée, nous avons tenu une école du di­manc­he com­mu­ne. Le thème était l’ap­pa­ri­ti­on de Jésus pour ses dis­cip­les au lac Tibé­ri­a­de. Des adul­tes et des en­fants ont par­ti­cipé à l’école du di­manc­he. Les en­fants ont écouté at­ten­ti­ve­ment et ont répon­du aux qu­es­ti­ons de l’en­seig­nant.

Après la pau­se, Ee­ro a prêché sur le thème de l’ap­pa­ri­ti­on de Jésus à ses dis­cip­les cachés der­riè­re les por­tes ver­rou­il­l­ées. Il a cons­taté que les dis­cip­les étai­ent des témoins de la résur­rec­ti­on. Ce n’était qu’après la résur­rec­ti­on de Jésus qu’ils ont réa­lisé que les écri­tu­res étai­ent main­te­nant de­ve­nu­es réa­lité. Jésus a ap­porté les sa­lu­ta­ti­ons de paix et a don­né le mi­nistè­re de la rémis­si­on des péchés à ses dis­cip­les.

Dans ma prédi­ca­ti­on, j’ai rap­pelé aux au­di­teurs que Dieu a montré un grand amour en­vers nous qu­and il nous a adopté en ses en­fants et nous gar­de tou­jours au sein de son ro­yau­me. De plus, Dieu a pro­mis à ses en­fants une mer­veil­leu­se part au ciel.

Pen­dant les pau­ses, nous avons aper­çu que les ar­ran­ge­ments de la réu­ni­on étai­ent bien ef­fi­ca­ces. Cer­tains in­vités avai­ent ap­porté de la pâtis­se­rie. Les hôtes se sont oc­cupés des ac­hats et des prépa­ra­ti­ons des re­pas. Pres­que tous les in­vités ont pris part aux ar­ran­ge­ments, cha­cun de sa ma­niè­re et se­lon ses ca­pa­cités.

Il était re­mar­qu­ab­le que pen­dant les prédi­ca­ti­ons, l’école du di­manc­he et la présen­ta­ti­on, même les en­fants se sont re­cu­eil­lis pour écou­ter tran­quil­le­ment. Pen­dant les pau­ses, au cont­rai­re, il y avait be­au­coup de bour­don­ne­ment. Les can­ti­qu­es et les chants de Zion ont réson­né in­tensé­ment, même si on n’était qu’une tren­tai­ne de per­son­nes au ma­xi­mum.

À la fin de la journ­ée, Ee­ro a don­né une présen­ta­ti­on sur le su­jet « Pour­quoi croi­re ? » Après la présen­ta­ti­on, les dis­cus­si­ons se sont déroul­ées d’abord en grou­pes et puis tous en­semb­le. C’était une dis­cus­si­on anim­ée et inté­res­san­te.

Di­manc­he, le thème de la réu­ni­on était le Bon Ber­ger. Les deux prédi­ca­teurs ont prêché des tex­tes as­so­ciés. C’était une bel­le journ­ée d’été. En chan­tant un can­ti­que es­ti­val nous avons res­sen­ti que cet­te réu­ni­on était une vraie célébra­ti­on.

Pen­dant le can­ti­que fi­nal, nous nous som­mes sen­tis un peu tris­tes, mais en même temps re­con­nais­sants pour fai­re par­tie des en­fants de Dieu. Not­re expé­rien­ce com­mu­ne était que cet­te réu­ni­on avait été at­ten­due et qu’el­le était bien néces­sai­re pour les en­fants de Dieu dis­persés en Eu­ro­pe Cent­ra­le.

Tex­te : Pent­ti Es­ko­la

Tra­duc­ti­on : S.K.

Jul­kais­tu rans­kan­kie­li­ses­sä nu­me­ros­sa 15.11.2017